Manger, c’est divin ! – Jésus mange avec les collecteurs d’impôts

Carême 2025, Retraites en ligne

 

Carême 2025 – Etape 4

 

Pour entrer en prière je prends le temps de me placer sous le regard de Dieu, mon créateur. Je peux dire une prière, faire des respirations lentes et profondes, ou prendre une posture de respect et de louange.
Ensuite je demande à Dieu que toutes mes intentions, tout mon être soit uniquement orienté vers son service et sa louange.

 

Dans le Nouveau Testament, nous voyons souvent Jésus à table, avec des convives divers et variés.  Ici c’est Matthieu, nouveau converti, qui ouvre sa maison à Jésus, à ses disciples, à ses anciens collègues et aux pécheurs.

 

Jésus partit de là et vit, en passant, un homme, du nom de Matthieu, assis à son bureau de collecteur d’impôts. Il lui dit : « Suis-moi. » L’homme se leva et le suivit. Comme Jésus était à table à la maison, voici que beaucoup de publicains (c’est-à-dire des collecteurs d’impôts) et beaucoup de pécheurs vinrent prendre place avec lui et ses disciples.
Voyant cela, les pharisiens disaient à ses disciples : « Pourquoi votre maître mange-t-il avec les publicains et les pécheurs ? » Jésus, qui avait entendu, déclara : « Ce ne sont pas les gens bien portants qui ont besoin du médecin, mais les malades. Allez apprendre ce que signifie : Je veux la miséricorde, non le sacrifice 1. En effet, je ne suis pas venu appeler des justes, mais des pécheurs. »
1 Osée 6,6

(Matthieu 9, 9-13 – traduction AELF)

 

J’imagine la salle du repas, la table, les banquettes et coussins, les mets sur la table, les verres de vin…

 

Je peux demander au Seigneur l’humilité de me reconnaître parmi les pécheurs, la grâce de sa miséricorde.

 

1. Les collecteurs d’impôts et les pécheurs se pressent autour de Jésus.
Je prends place au milieu de cette foule et j’observe les uns et les autres.

2. Les pharisiens se tiennent à l’écart, pour ne pas se salir.
J’observe leur attitude par rapport à celle de Jésus.  En ce qui concerne les gens « pas comme il faut » je sonde mon attitude, mon comportement.

3. « Ce ne sont pas les gens bien portants… »
Jésus se compare à un médecin, venu soigner les malades que nous sommes.
Je reconnais au fond de mon cœur que je suis un de ces malades…

4. « C’est la miséricorde que je veux et non le sacrifice »
Jésus renvoie à l’essentiel, à l’amour plutôt qu’aux sacrifices.
J’écoute sa voix. Il s’adresse à moi aussi. Je laisse sa parole résonner en mon cœur.

 

Je parle au Seigneur comme un ami parle à un ami. Je peux lui dire mon désir de m’ouvrir davantage, de l’écouter.
Je termine par une prière qui me met en communion avec l’Eglise.

 

 

Autre Texte

Venez, retournons vers le Seigneur ! il a blessé, mais il nous guérira ; il a frappé, mais il nous soignera.
Après deux jours, il nous rendra la vie ; il nous relèvera le troisième jour : alors, nous vivrons devant sa face.
Efforçons-nous de connaître le Seigneur : son lever est aussi sûr que l’aurore ; il nous viendra comme la pluie, l’ondée qui arrose la terre.
 – Que ferai-je de toi, Éphraïm ? Que ferai-je de toi, Juda ? Votre fidélité, une brume du matin, une rosée d’aurore qui s’en va.
 Voilà pourquoi j’ai frappé par mes prophètes, donné la mort par les paroles de ma bouche : mon jugement jaillit comme la lumière.
Je veux la fidélité, non le sacrifice, la connaissance de Dieu plus que les holocaustes.

(Osée 6, 1-6)

 

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